lu sur FSF dans la rubrique CDG
"en coup de gueule, moi, c'est un mec en kayak que j'ai vu en mer la semaine dernière à 7miles et demi au large du cap d'Ailly , qui pêchait tranquilou il était 20hoo
autnt vous dire que pour regagner la côte, le gars a dut faire une grande partie de sa route de nuit .
Je peux vous dire que ça fait pas gros sur l'eau, un ferry qui passe te boule ça sans en avoir les vents"

les accidents sont bien provoqués quand même par moment

What ?

slt Daniel
cette phrase n'est pas de moi, j'ai mis des guillemets je pense qu'il voulait dire qu'un ferry pourrait le percuter sans s'en rendre compte mais ce n'est pas ça qui m'a interpellé en premier

Oui, bonne idée de s' interesser à ça de près , ça nous concerne aussi....un jour....pas si lointain ....tous les kayakistes devront subir des restrictions dans l'usage de leur kayak...ou dans les distances par rapport au bord de mer. trop de morts , trop d'accidents ....on y va tout droit!!
Maintenant qui n'entends qu'une cloche n'entends qu'un son, j'aimerai savoir ce qui s' est passé pour qu'il se retrouve à cette distance .....à 20h

surtout que dans le cas présent les limites ont été franchies mais c'est l'été et on voit de tout

La législation, pour l'instant à plutôt tendance à aller vers une plus grande tolérance. On l'a vu avec l'Arrêté du 28 avril 2014 et la modifications de la division 240.
Tout d'abord, il faut encourager le commerce et vendre de plus en plus de kayaks et d'engins maritime toute taille confondues. La baisse des prix va bien aider à augmenter le nombre d'engins sur l'eau.
Mais la proportions d'abrutis (ou d'inconscients, voir les deux à la fois) est toujours la même quelque soit le groupe de population à analyser.
Ainsi, donc, quand le nombre d'utilisateurs de kayak augmente, le nombre "d'abru-scients" augmentent dans la même quantité.

Pour l'exemple, lundi, au lendemain du passage de Bertha, avec un vent de plus 50km/h, il y avait disséminé partout dans toutes les baies, des Kyte-surfers et des véliplanchistes en perditions, des bateaux gonflables et un tas d'engins flottants ou pour l'occasion volants; il faut remarquer qu'il y avait assez peu de kayak (enfin, par chez moi).

Malheureusement, dans le même temps, la SNSM voit ses moyens diminuer chaque année; c'est aussi d'ailleurs une des raisons de l'assouplissement de la législation, ils n'ont plus les moyens de faire la prévention, la sécurisation et la vérification des immatriculations. Mais par la même, nous allons vers une augmentation des risques.

La montagne a connu la même "démocratisation" et c'est pas joli-joli.

d'accord avec toi, c'est pour cela qu'il ne faut pas hésiter à dénoncer (je n'aime pas trop ce terme) ce genre de comportement irresponsable et dangereux ( pour soi et surtout pour les gars qui vont devoir aller chercher cet inconscient) et surtout à notre niveau remettre une couche, inlassablement, sur le port du gilet, la nécessité à apprendre à remonter dans son embarcation avant d'aller s'amuser en PEK, ect, ect....